29 avril 2013
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Une relégation, comme la mort d'un proche, contraint ceux qui restent à mesurer le passage du temps, et marque la fin d'un cycle.
C'est ce qu'a ressenti et exprimé à l'emporte-pièce la tribune de Quimper face à Rennes, en reprenant les chants de la belle époque, scandant les noms des héros de naguère - dont un était encore sur la pelouse, ombre de lui-même: Grougi.
Depuis le début on savait que, compte tenu des moyens du club, seul un état d'esprit irréprochable permettrait de s'en sortir.
Le reste de cet état d'esprit qui a permis la montée et le maintien deux fois s'en est allé avec la blessure de Baysse, la vente de Ben Basat et le renvoi de Chauvin.